Dans les médias, dans la mobilité, au cœur du débat politique, le développement durable fait désormais partie intégrante de notre société. Si cette nouvelle conception de l’intérêt collectif est devenue une préoccupation, elle reste difficile à appréhender pour les entreprises.
Concilier développement durable et qualité de vie au travail passe par une approche responsable dès la conception d’un bâtiment. Parce que le développement d’une entreprise exige aussi des locaux où l’on se sent bien !
Soucieux de créer un équilibre entre les contraintes techniques, financières et un cadre de vie agréable pour travailler, SPHERETECH ENVIRONNEMENT a étudié et adopté une approche originale et durable de la construction qui bénéficie au bien-être de ses salariés, le tout en cohérence parfaite avec ses convictions écologiques.
SPHERETECH ENVIRONNEMENT a étudié pour son siège une construction en murs massifs bois contre-collé.
Cette construction peut atteindre un coefficient d’isolation thermique de 0,16 W/m².K
Le coût de l’énergie, la production croissante de CO2 , la volonté de retrouver une vie plus saine et de participer à notre niveau à l’équilibre planétaire font des constructions dites « très basse énergie », les constructions des bâtiments industriels de demain.
Le bois d’œuvre contribue à réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Durant sa vie, le bois produit de l’oxygène et absorbe le CO2 contenu dans l’air qu’il transforme en carbone (50% de son poids est fait de carbone). C’est le meilleur piège à CO2 qui existe sur terre. Lorsque le bois est brûlé, le CO2 consommé durant sa croissance est rejeté dans l’atmosphère ; le bilan est alors dit neutre. En coupant l’arbre avant la fin de sa vie, le CO2 contenu dans ce dernier est stocké durablement (tant que le bois reste bois). Le bilan devient alors positif car l’arbre aura produit de l’oxygène sans rejeter de CO2. Une maison construite avec 20m³ de bois stocke 20 tonnes de gaz carbonique. La construction en bois contribue donc à réduire les émissions de CO2 dans l’atmosphère et peut donc être considérée comme respectueuse de l’environnement.
La construction d’une maison en bois est peu « énergivore », tant en transport de marchandise, qu’en transformation de matière en éléments constructifs. Elle est plus légère que les constructions traditionnelles ce qui permet de gagner en matière au niveau des fondations… et nous savons tous que toute production de matière génère du CO2.
Il est évident que l’isolation performante des maisons en bois participe activement à la diminution de l’effet de serre.
La qualité de sa mise en œuvre liée aux compétences de l’entrepreneur et de l’architecte.
Les mesures de protection du bois (attaque biologique).
La mise en œuvre du bois à un taux d’humidité de maximum 14%.
Une bonne aération.
Le bon choix de l’essence.
Lorsque le bois brûle, il se transforme en charbon de bois et forme ainsi une croûte protectrice autour de la pièce en feu.
On dit alors que le bois « s’auto-protège ». Tant que le cœur du bois est protégé de la chaleur par le charbon de bois, la pièce en feu garde l’entièreté de ses propriétés mécaniques.